1/ la vulgarité
Le registre de langue très vulgaire qui donne des réactions dans la classe avec « Ta mère fit un et tu naquis de sa », des mots comme « pourri ». Cela choque d’autant plus que l’auteur utilise par moments des mots du registre soutenu comme « naquis », ce qui fait contraste. Il y a un champ lexical scatologique avec les mots « i », « pet », « foireux », « cr », « c », ou un champ lexical organique dans ce que le corps a de plus bas : « pl », « ul »,
2/ comparaisons cocasses
Dans ces strophes, on relève plusieurs comparaisons comiques, à des animaux notamment : « pourri de Salonique », « Groin de », « cul de ». Il y a aussi d’autres comparaisons plus sérieuses mais tout aussi insultantes, référence au diable comme dans la lettre d'origine : « B » ou « Cornu comme ». il utilise des noms de personnages détestables : « Belzébuth » ou « », le voleur que la population a préféré sauvé au lieu de Jésus-Christ.
3/ image du sultan
On voit qu’il exagère sur le fait qu’il soit méchant, avec des expressions hyperboliques comme « plus criminel que Barrabas » ou « Bourreau de podolie » ou un rythme accumulatif avec des vers comme « des , des , des ».
4/ un élan révolutionnaire
le rythme assez vif, comme une courte blague : poème court, et qui contraste avec les longs passages du reste de la chanson . Nous pouvons constater un contraste. Ce texte est comique alors que le reste du poème est triste. C’est un homme qui a perdu son amour alors que Réponse … fait rire.
les différentes rimes ajoutent au rythme et au comique, car elles sont rares et ridicules. rime en « », « ».