Sappho (née vers 630 av. J.-C. à Lesbos ; langue éolienne)
ἄστερες μὲν ἀμφὶ κάλαν σελάνναν
ἄψ ἀπυκρύπτοισι φάεννον εἶδος,
ὄπποτα πλήθοισα μάλιστα λάμπη
ἀργυρία γᾶν
Texte tiré de Sapphô, Odes et fragments, coll. poésie Gallimard, 2005.
De ta pleine splendeur tu les illumines
Ces astres qui t’entourent ô lune
Mais de ta belle beauté argentée
Les voilà tous éclipsés
Ainsi le voilà endormi, l’astre lunaire
Accompagné de la Pléiade toute entière
Au milieu de cette période d’obscurité
Le temps passe, et encore je m’endors, délaissée
Esculape
Les astres entourent la belle Lune
et voilent leur éclat
lorsqu’elle, pleine et reine,
inonde d’argent la vaste Terre.Sous un même voile, la lune et les Pléiades s’endorment,
Mathilde
au beau milieu de la nuit,
pendant que l’heure poursuit sa course sans bruit,
Et moi, seule, je me couche en silence.
Les astres autour de la belle lune,
De nouveau cachent leur brillant aspect
Quand celle-ci est parfaitement pleine
La lune éclaire d’argent la TerreLa lune étant couchée,
Diane
Les Pléiades font de même
En milieu de nuit et
Avance l’heure tandis que moi
Je me couche toute seule
Les astres enserrant la douce Lune de nouveau
cachent leurs brillant aspect. Elle,
éclaire lorsqu’elle est pleine,
pleine d’argent, la terre entière.
La Lune s’est couchée
en compagnie des Pléiades,
au zénith de minuit, les heures s’enfuient
et moi je me couche,
seule.
Alban
Quand la lune se couche
Les pléiades s’endorment
Mais quand la nuit se couche
Moi seul je m’endors
Louis
Les astres autour de la belle lune
De nouveau cachent leur brillant aspect
Quand elle est pleine, elle éclaire
D’une lumière d’argent la Terre entière
A minuit, la lune et les Pleïades,
S’endorment ensemble, en faisant avancer le temps
Et moi, je me couche
Maïa