Je vous en ai parlé à diverses reprises depuis le début de l’année et nous avons commencé à explorer le thème mais il va falloir nous décider la semaine de la rentrée puisque les inscriptions devront être faites avant le 28 février.
Je vous en dis plus mardi prochain, mais vous pouvez d’ores et déjà regarder l’article qui présente le concours. Il y a 2 ans, un de mes élèves a souhaité participer et il a reçu les encouragements (il était donc parmi les 60 premiers alors qu’il y avait 436 candidats). Il a été accueilli au lycée Henri IV à Paris pour la remise des prix, voyage soutenu par le lycée.
Mardi, nous avons eu la visite d’archéologues du centre départemental d’archéologie du Pas-de-Calais qui nous ont proposé un atelier d’archéologie expérimentale. Romain et Thibaut, résument ainsi l’atelier auquel ils ont participé en ce 20 janvier :
La sépulture collective néolithique de la Chaussée-Tirancourt (Somme)
La sépulture collective néolithique bis
Mais qu’est-ce que c’est ?
Pendant cette séance, nous avons découvert les différentes facettes du métier d’archéologue. Plus particulièrement, les sépultures depuis le Néolithique jusqu’au Moyen-âge. Nous avons eu la possibilité de faire une activité qui nous a permis d’avoir une idée sur les objets présents dans les sépultures anciennes.
La sépulture gallo-romaine de Marquise (Pas-de-Calais)
La sépulture gallo-romaine de Marquise bis
La sépulture gallo-romaine ter
Florian et Antoine ajoutent :
Lors de la présentation de ces objets anciens, nous avons été stupéfaits de la façon dont on pouvait définir l’âge de l’objet découvert.
Des dents ?
Des bassins ?
Des ?
Les apprentis archéologues ont en effet eu à analyser des radiographies dentaires et des squelettes de bassin pour en déduire l’âge et le sexe d’un défunt retrouvé dans la tombe médiévale dont ils supervisaient la fouille… Deux indices ? Des dents poussant dans la gencive sont visibles sur la radio et son bassin est comme celui de la photo de droite…